"Et ce que j’aime plus que tout c’est que des plus petites choses et détails qui semblent sembler insignifiant si l’on y prête pas garde, que se situent les solutions et d’énormes espoirs." Tu as tout compris Léo. Si tu lis ma réponse à AE Myriam tu auras d'autres explications...lol Encore Merci
Merci de ton appréciation... pour Min-Ho c'est un vrai prénom coréen mais c'est vrai qu'il m'a fait sourire...pour le minot aussi.... Tandis que Roby-One allait vers Pierre Rahhi... si tu connais... d'où mon chemin vers l'agriculture biologique et compagnie et si tu n'as pas vu le film de Serreau va voir sur you tube ... Pour la suite ... non je ne me sens pas trop la force... LOL je vais passer à la métamorphose enfin peut-être dans la semaine... kissous
Ma chère Allegoria,
Votre univers ne cesse de m'intriguer, accomplie, émouvante, rock'n roll, et j'en passe. Merci de nous ouvrir la porte intime de votre univers. Des mots travaillés pour nous parler de la vie...
Eh bien Vivi, vous avez planché! Je rejoins Léo sur le fait que l'on apprend quantité de choses très intéressantes. Il y a beaucoup de candeur dans votre texte, on sent toute la confiance que vous portez en l'être humain. Toute cette positive attitude ressort de votre histoire et c'est plutôt chouette à lire pour moi qui ne fait que traquer les noirceurs de l'âme humaine dans mes romans. Merci. À très vite
Et bien quel boulot… derrière les nombreux clins d’œils culturels et fantaisistes il y a dans ce texte très documenté une mine d’informations vraiment passionnantes. Je vais assurément me coucher moins bête. Et ce que j’aime plus que tout c’est que des plus petites choses et détails qui semblent sembler insignifiants si l’on y prête pas garde, que se situent les solutions et d’énormes espoirs. Ce texte fait du bien et doublement bravo car j’ai pu lire dans les précédents commentaires ô combien cet atelier pas simple du tout pouvait impressionner. Et bien de tout ce que j’ai lu jusqu’à présent, cela valait vraiment le coup de se retrousser les manches et la plume. Du courage et de l’audace font des merveilles. À plus tard Vivi !
Super! J'aime beaucoup l'idée du philosophe jardinier et des lombrics sauveurs de la terre pour nous aider face à des sols détruits. On y est déjà avec la disparitions des haies... Alors ce serait chouette que Roby One et les 82 autres arrivent sous peu par chez nous sans attendre qu'il fasse 60° degré parce qu'avec un masque sur le nez, je ne vois pas comment ils font les deux gardes. Rien qu'en lisant le nom de Min-Ho, j'ai l'impression que l'on pourra compter sur lui pour lancer une grande révolution culturelle bizarrement... suite?
Je rejoins Vickie. Un vrai délice à lire pendant la pause méridienne quand quand l'envie nous manque (c'était le cas ce midi). Votre texte s'effeuille vite mais comme un feuilleté c'est assez croquant. La première lecture j'ai imaginé une scène avant d'en trouver une franchement différente à la relecture. Pour cette raison, je trouve que votre texte laisse beaucoup d'espaces à lire et se prête aux projections multiples: il peut épouser des imaginaires différents et autant de façon de désirer différentes. À la première lecture, j'ai pensé tiens, une héroïne façon Tinderella à la deuxième lecture, j'ai imaginé "Elle/Lui" dans une version plus âgée en séminaire de boulot. La dernière lecture m'a convaincue que plusieurs personnages ou espaces/temps se superposaient. En définitive, c'est assez insaisissable à l'image du désir. Bravo.
C'est juste magnifique ! Amour qui s'attrape, amour qui s'enfuit, l'écriture est minutieusement rythmée, "et elle" obsessionnelle redondance
En bref j'adore!
Les phrases que tu relèves sont un peu casse-gueule. J'ai eu peur qu'elles ne soient mal comprises. Je les ai laissées sans les modifier. J'ai cédé. Jamais le dernier mot avec le p'tit caillou dans ma tête ;) Kissous Vivi :)
Ce texte est superbe, inattendu aussi. J'adore, de bout en bout votre histoire. Elle mériterait vraiment de s'étoffer en un roman.
Il y a tellement de détails, de richesses en suspens, vous auriez l'embarras du choix.
Tout y est déjà. Bravo encore !
C’est clair, la SF est très codifiée et pour s’y frotter il faut avant toute chose souffler un bon coup. Vous avez admirablement bien contourné le problème en préférant la genèse à l’action et en vous inspirant de notre quotidien déjà très fourni en la matière. Vous vous êtes documenté et ça a apporté la crédibilité suffisante pour plonger dans ce genre très exigent. Ce n’était pas une mince affaire. Les sujets proposés sont ambitieux mais lorsque l’on voit comment ils sont relevés, on ne peut être qu’enthousiaste pour la suite.
Merci beaucoup cela me touche. En réalité j'ai essayé de faire ce que je sais faire, mener une intrigue à la manière d'un thriller. Ramener de l'angoisse, de la tension. Et je vous tire d'autant plus mon chapeau sur l'énorme travail que vous avez fait sur votre texte.. L'univers, les personnages, le point de vue, tout cela est très abouti. Je n'aurais pas été capable d'une telle qualité en empruntant votre angle d'écriture. Et je persiste.. Un roman peut tout à fait aboutir de ce texte.
J'aime... ceci
les vides tracés internent l’intellect d’un œil qui bat
les socles les cimaises pourfendent l’ignorance le banal
Ҫ à la fois merdique et jouissif*
la devanture d’un très peu pour m o i
Merci pour ton retour Vivi! Oui, il faut écouter papy...^^^
Si je fais le bon calcul je pourrais vivre une histoire avec le grand-père de TOM en en 2065 parce que j'aurais son âge si je vis jusque là...
Je me demandais ou tu voulais en arriver... ben j'ai compris qu'il faut écouter papy.... Les autres lecteurs ont tout dit. Quel boulot que ce texte!!! Bravo Moi je rame mais je vais trouver le bout du tunnel... enfin je crois...lol kissous
C'est tout votre univers qui est passionnant, les détails, la structure du texte, le décorum très particulier. Et puis l'histoire d'amour nous ramène à l'humain et c'est très attachant. Et l'on a beaucoup d'empathie pour les robots qui ne demandent qu'à humaniser leurs droits. Je crois qu'il serait dommage de laisser un si bel univers sans suite :)
On peut essayer d'imaginer une première fois hyper-loupée pour TOM et LÉA. Ils peuvent se tromper de boucle: cette grève des bots pourrait empêcher des retrouvailles réelles. ^^^
Merci beaucoup pour votre retour qui fait chaud au coeur: c'est la première fois que j'écris une histoire en SF. La SF me semblait impossible à écrire avant que je lise la contribution de Fabien.
Merci d'avoir ouvert le bal avec cette nouvelle. Le sujet me semble super difficile et honnêtement il me semblait même tout à fait infaisable avant que je lise votre contribution. L'atmosphère menaçante m'accroche à la lecture du texte car rien ne me semble stable dans cet univers: c'est très perturbant, ça fait peur car tout y défie les lois de la physique. L'image du métal qui fond comme le sucre dans une tasse de café me fait particulièrement peur peut-être parce que c'est une image quotidienne que nous connaissons tous mais qui montre l'aspect effrayant justifiant le code rouge, l'abandon de poste du militaire et sa peur qu'on le prenne pour un fou. Ce qui apparaît identifiable au départ (le robot) ne l'est plus à la fin (mer grise). C'est très angoissant car on ne sait plus quoi craindre au juste. Les robots apparaissent d'abord avec des yeux rouge rubis (ça évoque une présence extrêmement inquiétante) avant de (fondre comme des bougies). Les éléments de notre vie quotidienne, les expériences ordinaires (bougie, mer grise, café) deviennent menaçantes comme dans les cauchemars.