Comme une formule magique pour conjurer le temps qui passe. Ajouter de la vie à la vie plutôt que des regrets. Merci Hélène, un texte très bien écrit qui met le doigt sur ce qui fait mal en chaque être : ce qui ne sera plus. Je trouve très habile aussi le fait d'induire aussi la toxicité de tout ce qui fait du bruit autour de nous et tisonne un monde aux abois. Les mots pour dire, pour conjurer, pour sourire parce qu'au bout du compte c'est l'état d'esprit et la perspective qui fera... merci infiniment Hélène pour ce magnifique texte.
Quel beau texte vous nous offrez. Un portrait si fin et si vrai de ce qu'est vieillir et apprendre à devoir mourir. La cohorte de regrets, les " si j'avais su" à jamais inassouvis.
merci pour cette lecture .
un texte qui me touche tout particulièrement pour des raisons personnelles. Vous avez posé le coeur sur l'une des plus grandes absurdité de ce monde. Pourquoi devoir mourir.
Merci de ce moment de lecture.
Je vous remercie beaucoup pour ce joli compliment. J'ai moi aussi passé de grand moments de lecture avec Kerouac. Le personnage que je cite est toujours sur le fil, un personnage fort et fragile, avec des failles, des fractures. J'espère avoir le plaisir de vous lire très prochainement.
Bien à vous
Immédiatement happée par votre récit. Tout est dans le titre et votre narrateur pourrait avoir le même potentiel romanesque que Dean Moriarty dans Sur La Route de Kerouac. Au plaisir de vous lire.
Tout est dans le titre, il faut du courage pour tenir dans la durée en tant qu'aidant. La plupart des personnes dans ce cas s'isolent de plus en plus en raison de leur rapport altéré au temps comme à l'espace. Leur univers devient franchement absurde (se retrouver à attendre quelqu'un en ne sachant plus qui, etc... ) et notre visite aussi. Difficile de quitter ce genre d'endroit sans un sentiment d'absurdité totale. Que dire? Je dirais juste qu'il faut aimer Beckett pour travailler dans cet environnement.
Bonsoir et merci pour votre lecture. J'étais étonnée par votre titre car la tectonique des plaques m'évoque immédiatement une BD de Margaux Motin, cela change d'horizon d'attente, c'est amusant... À l'origine, il s'agit d'une nouvelle qui dépasse du double la limitation de caractères mais je me suis contrainte à condenser car souvent moins c'est mieux. Pour me présenter, j'aime bien ce qu'une histoire pourrait devenir si on la transformait au gré de nouvelles contraintes. Je n'ai pas eu l'occasion de lire ce qui est écrit sur ipagination pour le moment. J'attends avec impatience un emploi du temps plus alléger pour lire toutes les participations à l'atelier. De quoi s'agira-t-il en novembre? Au plaisir de vous lire et peut-être à bientôt de vous croiser ici.
On se retrouve enfin , en pleine découverte d'une personne bien connue de toutes et de tous, merci pour ce passage Vivi et j'aime beaucoup ce moment en librairie aussi ;)
J’ai sacrifié mon enfance à cette quête impossible sans pour autant accéder à la condition d’adulte et il m’a fallu des années d’accompagnement pour forger l’homme véritable que je suis devenu. « Chacun sa croix, chacun ses spectres et il faut vivre avec, malgré tout. »
Qu'il est heureux de lire ce lieux doux "là où l’on entrait c’était pour faire du bien". Chaque fin de vie devrait être accompagnée de toute la bienveillance comme on le perçoit dans votre texte. Il n'est jamais absurde d'avoir aimé et vécu, ce qui compte c'est de n'avoir à regretter le moins de choses possibles. Merci pour ce partage empli de douceur.
Entre la Terre qui ancre nos existences et le ciel qui invite à l'élévation des âmes et de ses pensées, une ligne d'horizon chaotique au gré de nos vicissitudes... le bonheur ne serait-il pas de se suffire à soi-même ? La quête de l'équilibre dans les deux textes déjà lus ; et il semblerait que cela soit bel et bien accessible.
Je l’ai fait une fois, j’avais un souci dans la famille, ses prunelles sont devenues tellement grises que j’ai cru qu’il allait pleuvoir.
Aurait-on pu lire : "J'ai cru qu'elle allait pleurer", ou bien "J'ai cru que j'allais pleurer" ?
C'est par cette porte que vos mots (merci Vivi) dépassent la simple description et laissent la place aux sentiments.
Merci Vivi pour cette description. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Bonjour et merci pour votre participation à l'atelier. De nombreuses belles choses. Tout d'abord votre capacité à nous faire entrer dans un monde froid et cynique, qui plus est en psychiatrie où l'on devine bien le manque cruel de moyens. Ensuite j'ai énormément apprécié le soin apporté aux descriptions du lieu de travail qui renforce la fragilité et permet d'appuyer la précarité de la situation. Et puis enfin cette adrénaline de fin où tout se précipite avec toujours autant d'incertitudes. Les choses bougent et se bousculent, d'où le choix du titre de ce commentaire. On aurait eu envie d'en connaître un peu plus sur les personnages, mais l'exercice n'était pas simple avec la limitation de caractères. Merci de votre participation et au plaisir de vous relire, notamment pour l'atelier de novembre qui promet quelques frissons... à plus tard.
Bonjour bonjour, merci beaucoup pour ton message, eh oui j'espère qu'on va tous se retrouver ici ;) Attention pour le moment je ne suis plus sur Facebook, cause piratage, mais je vais bientôt revenir ;)
Merci Vivi pour votre retour, que la douceur puisse terrasser les plus sourdes colères. Je viens de commenter votre très belle participation à l’atelier. À plus tard.
Pour poster votre contribution à l’atelier, rendez-vous dans l’onglet « appel À textes » puis sélectionnez l’atelier. Cliquez sur participez et sélectionnez ce texte afin qu’il figure dans cet espace. À plus tard.
Bonsoir et. Merci infiniment Vivi pour cette très belle participation. La description est très réussie, et l’idée de la librairie est vraiment très chouette. La chute est inattendue et vient bouleverser ces habitudes si bien rodées… et si… ce début ouvre de très belles perspectives, et à n’en pas douter, une très belle histoire. Au plaisir de vous relire.
Une très belle histoire philosophique... c'est vrai que la colère n'est pas bonne ni pour celui qui l'a en lui ni pour celui ou celle sur qui elle tombe. Merci de cette belle fable... a dit Marguerite...
Comme quoi avec peu de mots on peut exprimer beaucoup de choses, profondes. J'aime beaucoup cette retenue, cette façon presque frugale de poser le texte dans la rime. On est pris par cette simplicité du mot au service d'une pensée profonde. Et l'on se délecte autant que l'on se questionne.
Très joli poème chère Véramylène.