La violence est un fléau, on ne peut pas mieux dire, merci Salima. Qui revêt bien des formes jusqu’aux plus pernicieuses et elle se développe d’autant que l’humain ne parvient plus à canaliser ses émotions et comme la société entière s’emploie à faire le buzzz en exacerbant les émotions…. on n’a pas le c*** sorti des ronces.
Ton texte me rappelle l’adage « pour vivre heureux, vivons caché » et qui proviendrait d’un conte philosophique d’un dénommé Florian : « dans l’histoire, il était question d’un grillon qui n’avait aucun mérite et se sentait futile au point d’envier le fameux papillon qui était sans cesse admiré pour son vol et ses couleurs chatoyantes. Ce fameux grillon ne se ravisa et changea d’avis que lorsqu’ il vit un groupe d’enfants courant après le fameux papillon, l’attrape et le fit périr. Le grillon changea d’avis et préféra sa situation d’animal qui vit caché plutôt que celle du papillon tellement envié qu’il reste pourchassé pour mourir brulé. » (source : https://www.expressions-francaises.fr/pour-vivre-heureux-vivons-caches/ ). Et je crois que ce conte nous aide pas mal à y voir plus clair : le chant du grillon (parole) lorsqu’il croise la route d’envieux (ou autre attitude égoïste ou malveillante) peut avoir des conséquences négatives,. Ce que l’on dit n’est pas toujours compris, pas toujours contextualisés… et l’autre chose qui me vient à l’esprit est lié au livre que je lis en ce moment et je chroniquerai plus tard « Sapiens » de Yuval Noah Harari dans lequel j’ai noté "« La recherche sociologique a montré que la taille « naturelle» maximale d'un groupe lié par le commérage est d'environ 150 individus. » … le commérage semble bien exister depuis des millénaires et même être intrinsèque à l’humain. A plus tard Mich.
Tes mots résonnent avec tant d’émotion et d’authenticité. On sent vraiment que tu parles de quelque chose de profond et sincère. J’aime la façon dont tu mêles la nature avec tes pensées, ça donne une atmosphère presque magique. Et puis, ta musique… C’est comme si chaque souvenir que tu évoques prenait vie. Merci :)
Wow, c’est vraiment puissant ! Ces images, cette présentation du texte. Tu réussis à capturer toute la douleur et la colère de ces femmes avec une intensité incroyable. Ça m’a vraiment touché. Les témoignages que tu partages sont bouleversants et montrent à quel point il est urgent de parler de ces sujets. J’aime la façon dont tu mets en avant la force de ces voix qui se libèrent enfin. C’est un vrai cri de ralliement pour toutes celles qui ont souffert en silence. Merci :)
C’est puissant et tellement évocateur. Tu réussis à exprimer la douleur de la violence d’une manière qui résonne profondément. Les mots que tu choisis capturent parfaitement l’angoisse et l’urgence du message. J’aime comment tu passes de la tristesse à l’espoir à la fin. Ça donne envie de se lever et de faire entendre notre voix. Merci :)
Tes mots ont une belle force. Tu exprimes cette lutte intérieure entre l’envie de parler et la peur des conséquences avec beaucoup de délicatesse. L’image du miroir brisé est particulièrement évocatrice. Ton texte nous invite à réfléchir sur la façon dont nous communiquons nos émotions. Merci à toi :)
Bonjour et merci de ce partage Sélima car je viens de découvrir Théia, titanide que je ne connaissais pas. Et je trouve qu’il y a une bonne base pour développer et participer à l’atelier d’écriture que tu trouveras sur le site dans la partie ateliers de l’atelier d’écriture sous le titre de « L’appel de Gaïa ». La mythologie est une ressource incroyable et même indispensable pour tirer le fil d’un récit commun qui permet de mieux appréhender des notions et concepts que l’on a besoin de voir incarné pour les faire vivre de mille façons possibles. A plus tard.
De nouveau une très belle trouvaille pour mettre en lumière ces petites choses de la vie qui en permettent sans que l’on s’en rende compte de grandes… Ce Chépakoi fait la paire avec Cenéparien, lui aussi presque imperceptible et pourtant bien réel et puissant. Merci du partage Mich.
Bravo et merci Mary. C’est un texte utile et salvateur pour bien des personnes qui peuvent se sentir en souffrance dans ce que tu nomme très bien le « devoir devenir », cette forme d’injonction tacite et pernicieuse qui aux exigences de sociétés qui courent comme un poulet sans tête, sans but ni sens ; la privation de l’équilibre intérieur sur l’autel de convoitises extérieures inconsidérées et on on peut le dire, de plus en plus inacceptable. Ton texte de façon simple et juste nomme les choses et propose une démarche à suivre pour une révolution intérieure qui mène à la liberté et au bien-être de l’âme.
Il y a une forme de non dits, mais toutes les conséquences et états qui l’entourent sont très bien décrites ce qui en fait un texte accessible et je pense universel. Merci de ce partage loscrivo.
Quel joli texte plein de douceur et de légèreté !
Ton Chépaquoi m’a fait sourire du début à la fin.
Tu réussis à mettre des mots simples sur ce petit rien qui change tout, ce souffle invisible qui rend les journées plus belles.
C’est poétique, tendre et tellement vrai. Bravo pour cette belle trouvaille et cette écriture qui réchauffe le cœur.
Merci à toi pour ces mots pleins de justesse. Oui, le lâcher-prise, c’est un acte de confiance — en la vie, en soi, en ce qui doit être. Quand on cesse de vouloir tout contrôler, on découvre souvent une force tranquille, une clarté nouvelle. C’est dans ce vide apparent que l’on se retrouve vraiment, plus vrai, plus léger.
Ton texte est d’une beauté lumineuse et d’une grande sensibilité poétique. Il déploie un univers sensoriel vibrant, où chaque image respire la liberté et la communion avec la nature. Luminara devient presque un personnage à part entière, un espace vivant où la création et la joie se confondent.
Elysia incarne magnifiquement la renaissance par l’art : sa danse, à la fois offrande et libération, symbolise la transformation intérieure et collective. Le passage du personnel au communautaire — quand elle invite le village à célébrer — donne une dimension universelle à ton récit, comme une métaphore de la puissance créatrice partagée.
La musicalité de ton écriture, les rythmes fluides et les images sensorielles (le sable chaud, l’air salin, la ronde des étoiles) créent une immersion totale. Le texte se lit comme une partition, où chaque phrase semble vibrer d’une énergie vitale.
C’est une très belle conclusion pour un cycle narratif : la fusion entre l’individuel et le collectif, entre la nature et l’art, entre la matière et le rêve.
Merci du fond du cœur pour tes mots si bienveillants. Ils me touchent profondément et me rappellent combien le partage et la sincérité peuvent illuminer les cœurs. Ta sensibilité et ton regard positif sont une vraie source d’inspiration.
Je ressens cette belle intensité qui fait du bien ! C’est très réussi sur le fond et la forme, le bonheur du moment est transmis au lecteur avec joie et tendresse. C’est aussi une belle mise en valeur des forces et des fragilités.
Je trouve l’opposition que vous exprimez puissante, ce qui donne son sens au message. Cela porte à faire réfléchir. C’est un des rôles de la littérature en général, et de la poésie. Vous vous débrouillez très bien, ne pensez pas le contraire. Et puis faire des erreurs cela arrive. L’important c’est de les voir et de parvenir à les corriger.
Ton écriture est très puissante, très touchante. Elle parle à tous le monde. La déception face à la justice, l’enfermement face à la violence du monde. Merci !
L’idée de la lutte pour la liberté et l’importance de suivre notre propre chemin est essentielle. Merci de nous le rappeler, et de partager cette réflexion en poésie, pleine d'émotions et de métaphores qui résonnent :)
Tes mots dégagent une lumière et une énergie incroyables, rappelant l’importance de sourire à la vie, même dans les difficultés. Ta capacité à capturer la beauté des petites choses et à transmettre l’espoir est vraiment touchante. Merci pour ton partage :)
Merci à toi :) Ta plume est empreinte de sincérité et d’émotions. Des images puissantes qui résonnent profondément. C’est une écriture qui touche les cœurs et les esprits.
L’importance de lâcher prise pour se retrouver. J’aime cette idée que le dépouillement mène à une véritable paix intérieure. C’est inspirant de penser que tout ce qu’on cherche est déjà en nous. Merci du partage :)
Merci pour ton texte sur le “chépaquoi”, il m’a bien fait sourire ! J’adore cette façon de parler de ce petit quelque chose qui rend les journées plus lumineuses. C’est tellement vrai qu’on a tous besoin d’un chépaquoi de temps en temps :)
J’aime la façon dont tu décris cette figure féminine et son lien avec la lumière et l’ombre. Les images poétiques créent une atmosphère à la fois douce et mystique. Dévoiler Madame à la fin du texte ajoute une belle dimension. Merci pour ton partage :)